Le film Clones, le virtuel de la vie
Le film Clones de Jonathan Mostow avec Bruce Willis, sorti le 28 Octobre 2009 est une bonne illustration de l'utilisation qu'on peut faire du virtuel mais surtout de ces dérives...
Synopsis : Deux agents du FBI enquêtent sur le meurtre mystérieux d'un étudiant, qui semble lié à l'homme qui a contribué à mettre au point une invention qui s'est imposée dans toute la société : les gens peuvent désormais acheter des versions robotisées d'eux-mêmes, des doubles sans défaut qui, commandés à distance, effectuent leurs tâches à leur place et leur permettent de vivre par procuration sans quitter le confort et la sécurité de leur domicile.
Cette révolution technologique soulève beaucoup de questions, dont la première va vite devenir préoccupante : dans un monde d'apparences qui est réel, à qui peut-on faire confiance ?
Source : Allociné
Tout en gardant à l'esprit qu'il s'agit d'un film et donc d'une histoire inventé par un réalisateur, on peut cependant dire que le virtuel comme il est utilisé ici, permet à tous les êtres humains de pouvoir rester chez eux toute la journée, tout en dirigeant par l'esprit leur clone. Ceci a pour conséquence une baisse de la criminalité, mais aussi un business florissant pour le créateur de ce système. A force d'utiliser ce système, les humains n'ont plus aucune habitude, les relations ne se passent qu'à travers leurs clones, les abus sont nombreux car les clones n'ont pas de morale propre ni de sentiments, c'est uniquement l'humain qui les guide qui peut ressentir les choses.
Un des moments intéressants du film est lorsque le héro (Bruce Willis) doit sortir dans la rue sans son clone, c'est-à-dire que c'est bien son corps qui sort, il se sent alors vulnérable, stressé et surtout faible car humain parmi les robots.
Cette utilisation du virtuel "pourrait" être une solution pour les personnes handicapés physique qui pourrait alors vivre leur vie sans pour autant subir leur handicape à longeur de journée mais il faut bien garder à l'esprit que le virtuel n'est pas une finalité et que ce sont bien les hommes qui se doivent d'interagir entre eux et non des machines.
Synopsis : Deux agents du FBI enquêtent sur le meurtre mystérieux d'un étudiant, qui semble lié à l'homme qui a contribué à mettre au point une invention qui s'est imposée dans toute la société : les gens peuvent désormais acheter des versions robotisées d'eux-mêmes, des doubles sans défaut qui, commandés à distance, effectuent leurs tâches à leur place et leur permettent de vivre par procuration sans quitter le confort et la sécurité de leur domicile.
Cette révolution technologique soulève beaucoup de questions, dont la première va vite devenir préoccupante : dans un monde d'apparences qui est réel, à qui peut-on faire confiance ?
Source : Allociné
Tout en gardant à l'esprit qu'il s'agit d'un film et donc d'une histoire inventé par un réalisateur, on peut cependant dire que le virtuel comme il est utilisé ici, permet à tous les êtres humains de pouvoir rester chez eux toute la journée, tout en dirigeant par l'esprit leur clone. Ceci a pour conséquence une baisse de la criminalité, mais aussi un business florissant pour le créateur de ce système. A force d'utiliser ce système, les humains n'ont plus aucune habitude, les relations ne se passent qu'à travers leurs clones, les abus sont nombreux car les clones n'ont pas de morale propre ni de sentiments, c'est uniquement l'humain qui les guide qui peut ressentir les choses.
Un des moments intéressants du film est lorsque le héro (Bruce Willis) doit sortir dans la rue sans son clone, c'est-à-dire que c'est bien son corps qui sort, il se sent alors vulnérable, stressé et surtout faible car humain parmi les robots.
Cette utilisation du virtuel "pourrait" être une solution pour les personnes handicapés physique qui pourrait alors vivre leur vie sans pour autant subir leur handicape à longeur de journée mais il faut bien garder à l'esprit que le virtuel n'est pas une finalité et que ce sont bien les hommes qui se doivent d'interagir entre eux et non des machines.