La naissance des besoins
Bien que ce titre amène plutôt une étude sociologique et psychologique, il m'a paru intéressant de pouvoir faire un point rapide sur la naissance des besoins chez les individus pour pouvoir expliquer la naissance du besoin de vMarketing.
Deux théories ressortent par rapport à cette problématique : Maslow et Herzberg.
Théorie de Maslow
Selon Maslow, les besoins sont progressifs et peuvent être répartis en catégorie. Chaque individu évolue à son rythme entre les catégories mais en théorie, il faut avoir comblé le besoin précédent pour pouvoir évoluer dans la pyramide. Au fur et à mesure qu'il progresse dans la pyramide, l'individu s'épanouit de plus en plus.
Source : http://www.er.uqam.ca/nobel/m213354/mes%20images/pyramide_maslow%5B1%5D.gif
Théorie de Herzberg
L'approche de Maslow est aujourd’hui contestée, car il est possible de satisfaire un besoin sans que le niveau inférieur soit comblé ; on peut alors s'appuyer sur la théorie de la satisfaction de Herzberg.
Tout comme Maslow, Herzberg dégage cinq facteurs de satisfaction :
l'accomplissement,
la reconnaissance de l'accomplissement,
le travail lui-même (les tâches et missions effectuées),
la responsabilité,
la progression sociale.
Bien que ces facteurs ne suivent pas d’ordre, Herzberg, comme Maslow, considère la réalisation de soi est l’objectif ultime et le plus important.
Herzberg a pris pour contexte de référence le monde du travail. IIl en ressort que les facteurs de mécontentement sont d’avantage liés à l’environnement qu’aux relations humaines : administration, patron, salaire, relations interpersonnelles, conditions de travail… Herzberg annonce que l’enrichissement des taches permet d’accroitre l’intérêt au travail ainsi que l’autonomie.
On peut cependant noter que l’étude reste cantonnée au monde du travail. Cette théorie peut donc être remise en cause dans le sens où le monde du travail a évolué sans cesse depuis de nombreuses années et que la vie personnelle et familiale pèse aujourd’hui autant que la vie professionnelle.
Source : Wikipedia
Ces deux théories, bien qu'elles soient différentes, expriment et définissent ce que sont les "besoins humains réels" en opposition avec les "besoins fictifs".
Deux théories ressortent par rapport à cette problématique : Maslow et Herzberg.
Théorie de Maslow
Selon Maslow, les besoins sont progressifs et peuvent être répartis en catégorie. Chaque individu évolue à son rythme entre les catégories mais en théorie, il faut avoir comblé le besoin précédent pour pouvoir évoluer dans la pyramide. Au fur et à mesure qu'il progresse dans la pyramide, l'individu s'épanouit de plus en plus.
Source : http://www.er.uqam.ca/nobel/m213354/mes%20images/pyramide_maslow%5B1%5D.gif
Théorie de Herzberg
L'approche de Maslow est aujourd’hui contestée, car il est possible de satisfaire un besoin sans que le niveau inférieur soit comblé ; on peut alors s'appuyer sur la théorie de la satisfaction de Herzberg.
Tout comme Maslow, Herzberg dégage cinq facteurs de satisfaction :
l'accomplissement,
la reconnaissance de l'accomplissement,
le travail lui-même (les tâches et missions effectuées),
la responsabilité,
la progression sociale.
Bien que ces facteurs ne suivent pas d’ordre, Herzberg, comme Maslow, considère la réalisation de soi est l’objectif ultime et le plus important.
Herzberg a pris pour contexte de référence le monde du travail. IIl en ressort que les facteurs de mécontentement sont d’avantage liés à l’environnement qu’aux relations humaines : administration, patron, salaire, relations interpersonnelles, conditions de travail… Herzberg annonce que l’enrichissement des taches permet d’accroitre l’intérêt au travail ainsi que l’autonomie.
On peut cependant noter que l’étude reste cantonnée au monde du travail. Cette théorie peut donc être remise en cause dans le sens où le monde du travail a évolué sans cesse depuis de nombreuses années et que la vie personnelle et familiale pèse aujourd’hui autant que la vie professionnelle.
Source : Wikipedia
Ces deux théories, bien qu'elles soient différentes, expriment et définissent ce que sont les "besoins humains réels" en opposition avec les "besoins fictifs".